Exceptional Concert by Christopher Owens at La Maroquinerie – A Night of Intimate Grace

Grégory Herpe
Jul 2
3 min read

On June 15, 2025, the intimate Parisian venue La Maroquinerie was transformed into a temple of emotion by none other than Christopher Owens. Best known as the former frontman of Girls and for his poignant solo work, Owens offered a concert that was as delicate as it was profound — a rare blend of vulnerability and confidence that left the audience entranced.

From the very first notes with his minimalist cover of Time After Time by Cyndi Lauper (just his guitar… no vocals), there was a kind of stillness in the room, a hushed reverence.

Owens performed with a stripped-down elegance, his voice carrying both the fragility of a wounded heart and the strength of someone who has survived.

Each song — whether from his early Girls catalogue, his solo records — was rendered with an honesty that felt almost confessional.

The atmosphere was often hypnotic, always deeply moving. Owens didn’t simply perform; he connected.

I had the chance to speak with him — a few words that only reinforced the sense that he is one of those rare artists who truly gives a piece of himself on stage.

And then came a beautiful gesture: as the concert ended, Owens did what he always does — removed the bouquet of flowers taped to his microphone stand.

But this time, instead of tossing them into the crowd, he turned and offered them directly to me (and to mys sister Vanessa!).

A simple act, but one I’ll remember forever.

Christopher Owens reminded us all that music can be an act of grace.

His concert at La Maroquinerie was not just a performance, but a shared moment of truth and tenderness.

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Concert exceptionnel de Christopher Owens à La Maroquinerie – Une soirée de grâce intime

Le 15 juin 2025, la salle intimiste de La Maroquinerie à Paris s’est métamorphosée en un sanctuaire d’émotions, grâce à Christopher Owens. Connu comme l’ancien leader du groupe Girls et pour sa carrière solo empreinte de sincérité, Owens a offert un concert aussi délicat que profond — un mélange rare de vulnérabilité et d’assurance, qui a littéralement envoûté le public.

Dès les premières notes avec sa reprise minimaliste de Time after Time, de Cindy Lauper (juste sa guitare...sans voix), un silence respectueux s’est installé.

Owens a joué avec une élégance épurée, sa voix portant à la fois la fragilité d’un cœur blessé et la force de celui qui a survécu. Chaque morceau — issu de l’époque Girls, de ses albums solo — était interprété avec une sincérité presque confessionnelle.

L’ambiance était souvent hypnotique, toujours bouleversante.

Owens ne s’est pas contenté de chanter : il a créé un lien.

J’ai eu la chance de lui parler — quelques mots qui n’ont fait que renforcer cette impression : celle d’un artiste rare, qui offre réellement une part de lui-même sur scène.

Et puis, un geste magnifique : comme à la fin de chacun de ses concerts, Owens a détaché le bouquet de fleurs scotché à son pied de micro.

Mais cette fois, au lieu de le lancer dans la foule, il s’est tourné vers moi et me l’a tendu (et l'autre moitié à ma soeur Vanessa!).

Un geste simple, mais que je n’oublierai jamais.

Christopher Owens nous a rappelé que la musique peut être un acte de grâce. Son concert à La Maroquinerie n’était pas qu’une performance, mais un moment de vérité et de tendresse partagée.

🙏👍🙏👍🙏